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Victoria Duval quitte les masters 1000 de Miami La belle aventure de Victoria Duval dans lesvicky miami master masters 1000 de Miami (Floride) a pris fin hier vendredi 22 mars face à la Serbe Jelena Jankovic. Cette dernière (28 ans) et 24e joueuse mondiale, a fait parler son expérience pour venir à bout de la talentueuse Duval par deux sets à zéro en 1h 40 minutes de combat intense. Auteur d’un début de match très timide, Victoria a perdu le premier set (6/3) face à la tête de série (#22) du tournoi, avant d’offrir une opposition féroce à la Serbe au second set. Une nouvelle fois, Duval n’a pas franchi le deuxième tour du master 1000 de Miami, comme ce fut le cas à Midland et Memphis, il y a tout juste trois mois. L’Américaine d’origine haïtienne, Victoria (17 ans) s’est inclinée (7/5). Au final, elle quitte le tournoi de Miami au deuxième tour. Tennis.-Masters 1000 de Miami Vendredi 22 mars 2013 Jelena Jankovic (Serbe/ #22) bat Victoria Duval (EU) : 6/3 et 7/5
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Le Nouvelliste - Michaëlle Jean : présidente d'Haïti ?
 

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Michaëlle Jean : présidente d'Haïti ?



Michaëlle Jean : présidente d'Haïti ?

 

« Merci d'avoir rendu ma vie plus riche! ». La déclaration est pleine d'émotion, de franchise et de sincérité. Elle vient d'une Québécoise : Lucie Rebelo, directrice de la bibliothèque des sciences juridiques de l'Université du Québec à Montréal. L'aveu pourrait passer inaperçu. Mais quand il reflète le sentiment général de l'assistance qui était suspendue aux lèvres de Michaëlle Jean lors d'une conférence organisée au soir du mardi 6 mars par l'Association canadienne pour les Nations unies-Grand Montréal au local de l'Université du Québec à Montréal, il mérite bien d'être souligné. « Merci de nous parler d'Haïti en de si bons termes », lance une autre Québécoise qui dévoile son envie de visiter «La perle des Antilles». Une autre déclare toute son admiration pour le café haïtien, le meilleur au monde, tente-t-elle de convaincre l'assistance. Un professeur africain de marketing y va d'une demande singulière à la conférencière du soir : « Comment insuffler des Michaëlle Jean en nous ? ». Et les témoignages similaires en pleuvaient. À la fin de la conférence, M. Yvon Charbonneau, ancien ambassadeur du Canada auprès de l'Unesco, a pris une bonne vingtaine de minutes pour camper le profil de la chancelière de l'Université d'Ottawa depuis le 1er février 2012. Le temps de passer au peigne fin l'ensemble des réalisations qui lui ont valu pas moins de 15 doctorats honoris causa. Et personne ne se montrait fatigué ! Pour s'en convaincre, il fallait observer la file de gens qui attendaient pour arracher un petit mot de la très honorable Michaëlle Jean, comme on l'appelle au Canada. Certains veulent lui parler d'un projet, d'autres désirent se prendre en photo avec elle. D'autres encore souhaitent juste écouter ses commentaires. Et l'exercice a, semble-t-il, bien plu à Mme Jean qui se prête au jeu en répondant avec enthousiasme aux différentes questions. Elle en profite pour conter des histoires de la civilisation noire, des prouesses de la guerre de l'Independence d'Haïti et de bien d'autres histoires passionnantes. Elle fait par exemple le récit de sa visite à la porte du non-retour au Sénégal, monument érigé en mémoire de la période esclavagiste qui retrace le début de la grande aventure meurtrière de la traite négrière. Les réponses sont de classe. Elles inspirent. La personnalité de la conteuse leur confère une certaine amplification voire une dramatisation. C'est que derrière l'image de Gouverneure générale du Canada, fonction très protocolaire qu'elle a occupée de 2005 à 2010, la très honorable Michaëlle Jean n'a rien perdu de ses talents d'animatrice et de journaliste. On dirait pour utiliser un langage plus médiatique, une vraie star ou une vedette de la télé qui attire, qui inspire et qui invite à l'action dans l'intérêt de la collectivité. Ce qui fait penser à sa brillante carrière de journaliste, de présentatrice et d'animatrice d'émissions d'information à la télévision publique canadienne, au réseau français à Radio-Canada et au réseau anglais CBC Newsworld. Elle a travaillé indifféremment aux réseaux anglais et français puisqu'elle parle couramment cinq langues : le créole, le français, l'anglais, l'italien, l'espagnol, en plus de lire couramment le portugais. Michaëlle Jean a aussi participé à plusieurs films documentaires signés par son mari, le cinéaste, essayiste et philosophe Jean-Daniel Lafond : La manière nègre ou Aimé Césaire, chemin faisant; Tropique Nord; Haïti dans tous nos rêves et L'heure de Cuba, tous primés au Canada et sur la scène internationale. M. Yvon Charbonneau a pris soin de souligner que la 27e Gouverneure générale du Canada depuis la Confédération en 1867 a fait en sorte que l'espace institutionnel qu'elle occupait soit plus que jamais un lieu rassembleur où le dialogue prédomine et où la parole des citoyennes et citoyens est entendue. Et tout au cours de sa présentation, Mme Jean a effectivement fait la promotion de ces valeurs, à travers notamment l'écoute, l'entente et la convergence des forces pour changer le cours des choses, particulièrement en Haïti. Fervente de la diplomatie de proximité et à échelle humaine, elle a aussi mené une quarantaine de missions et de visites d'État à l'étranger : en Afghanistan, en Chine, dans dix pays africains, neuf pays des Amériques et plus d'une dizaine de pays européens. Au service du développement d'Haïti Depuis le 1er octobre 2010, après avoir servi son pays d'adoption, Michaëlle Jean agit à titre d'Envoyée spéciale de l'Unesco pour son pays d'origine. « Se Ayiti ki fèm wi ! », s'exclame-t-elle à l'endroit du citoyen haïtien qui, charmé par son charisme et toute la mesure de son haïtiannité, avoue s'être grandement trompé d'avoir cru qu'elle était beaucoup plus canadienne qu'haïtienne. On sent que son âme est et restera haïtienne. Lap leve danse depi tanbou frape » La troisième femme à occuper le poste de Gouverneur général du Canada compte mettre au profit du développement d'Haïti ses nombreuses visites d'État effectuées à travers le monde durant les cinq ans de son mandat, un important réseau de sympathie, de contacts et de toute une cote de crédibilité sur la scène internationale. Elle communique toute son énergie et sa détermination à faire profiter Haïti de son aura. Une énergie et une motivation qui cachent bien son âge. Car, à 56 ans, elle a bien le visage d'une quadragénaire! À une pareille remarque, une élégante femme haïtienne m'avait répondu : «Je suis comme le bon vin qui devient meilleur en vieillissant». Le parcours enrichissant et enviable s'érige en véritable eau vive qui vivifie Michaëlle Jean, déterminée à aider à la réorientation de l'aide internationale envers Haïti: « J'arrivais armée de la conviction que je pouvais activer toutes ces alliances pour maintenir Haïti sur l'écran radar des préoccupations internationales et pour promouvoir un pacte de solidarité dont la population haïtienne a infiniment besoin. Un pacte de solidarité qui aille au-delà de la logique d'assistanat qui prévaut depuis des décennies, d'une urgence à l'autre, d'une catastrophe à l'autre, et qui a toute l'apparence de la charité mal ordonnée.» « La charité, poursuit-elle, vient du coeur, mais il arrive que, quand elle est mal ordonnée, elle participe davantage aux problèmes qu'aux solutions.» Haïti en est l'illustration parfaite à ses yeux: «Haïti est l'un de ces pays transformés en un vaste laboratoire de toutes les expériences, de tous les essais et de toutes les erreurs de la machine de l'aide internationale, du déploiement de stratégies lacunaires qui n'ont jamais rien donné, rien produit ni rien réalisé de réellement durable, malgré les millions de dollars engloutis dans le plus grand désordre, sans vision à long terme et dans un total éparpillement. » Un tableau peu reluisant mais qui ne décourage pas pour autant Mme Jean qui dit avoir confiance dans l'engagement de l'Unesco pour une action sur le long terme. Dans l'action qu'elle mène depuis octobre 2010 en tant qu'Envoyée spéciale de l'Unesco, elle s'efforce, dit-elle, sans relâche de maintenir Haïti dans les esprits et à l'ordre du jour des officines de la coopération, au Canada, mais aussi au Qatar, en Chine, en Norvège, au Japon, à Monaco, en Finlande, aux Etats-Unis, en France, en Espagne, au Royaume Uni, à l'Union européenne, à l'Onu et à l'Organisation des États américains (OEA). Car, indique-t-elle, d'une crise, d'une catastrophe, d'un conflit à l'autre dans le monde, le risque est évidemment qu'Haïti recule sur la liste des priorités et des préoccupations. À constater la révérence que forcent certains de nos compatriotes à l'étranger, comme c'est le cas de Michaëlle Jean et du professeur Samuel Pierre (1) au Canada, je ne puis m'empêcher de me questionner sur l'exploitation nationale de cette richesse que représentent les Haïtiens de la diaspora. Les professeurs étrangers des universités nord-américaines profitent des vacances d'été pour offrir des séminaires et des cours dans leur pays et réaliser des recherches pour les institutions de leur pays, notamment les Banques centrales et les différents ministères. Mais Haïti n'en est pas encore là. Des professeurs et chercheurs haïtiens se montrent disponibles mais leurs offres de services ne sont pas toujours bien accueillies. Un membre du Groupe de réflexion et d'action pour une Haïti nouvelle (Grahn-Monde), dirigé par le professeur Samuel Pierre, une sommité intellectuelle au Canada, m'avait fait part de sa tristesse en constatant le peu d'intérêt des dirigeants haïtiens pour les offres de services gratuits du Grahn. Ils préfèrent, me disait ce membre du Grahn, payer chèrement des consultations de moins bonne qualité. Trop souvent, les dirigeants haïtiens convoitent les ressources financières de la diaspora tout en ignorant la richesse intellectuelle qu'elle représente et qui pourrait servir de sève au développement national. Ce développement, faut-il le rappeler, doit d'abord être conçu sur le papier, comme l'architecture de tout bâtiment. Samuel Pierre, PHD, professeur à l'École Polytechnique de Montréal, figure parmi les 100 plus grands scientifiques du Canada. Le natif des Anglais, petite commune de l'arrondissement des Chardonnières dans le département du Sud, a reçu l'Ordre du Canada en 2012, la plus importante distinction honorifique attribuée par le Canada. Il a été nommé membre de l'Ordre du Canada pour sa contribution dans le domaine des réseaux de communications câblés et sans fil, et pour son engagement bénévole au sein de la communauté haïtienne au Québec. La famille Jean avait dû fuir la dictature de François Duvalier en 1968, Michaëlle n'avait que 11 ans. Le Canada en a profité pour accueillir un talent rare, un diamant brut qu'il a su faire scintiller aux yeux du monde entier. Tandis que chez nous, on continue d'exclure. Légalement en plus ! Pourquoi ne pas avoir une Michaëlle Jean ou un Samuel Pierre candidats à la présidence d'Haïti, s'ils le souhaitent? Une Constitution rétrograde nous en empêche. Sublime exclusion ! On ne cherche pas ou ne favorise pas les meilleurs mais plutôt les plus malins. En plus d'être haïtienne d'origine, l'ancienne Gouverneure générale du Canada était également française. Elle a dû renoncer à cette nationalité au moment de prêter serment. Voilà pour moi ce que veut dire la double ou multiple nationalité. Tout le reste n'est que de la poudre aux yeux de la diaspora. Le développement d'un pays passe par le leadership de personnalités inspirantes, motivantes, honnêtes et surtout compétentes. Il n'y a de richesse que d'hommes (et de femmes) nous disait Jean Bodin, philosophe et théoricien politique français du XVIe siècle. Pourtant, Haïti ne valorise pas encore ses hommes et ses femmes, est-ce pourquoi elle demeure si pauvre ?






Sources: Le Nouvelliste




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Pensée de la semaine  
  "Il n'existe pas des citadelles imprenables mais des citadelles mal attaquées"  
Espagne: le FC Barcelone aurait signé un pré-contrat avec Neymar  
  Le FC Barcelone aurait signé en novembre 2011 un pré-contrat avec Neymar, attaquant du club brésilien de Santos, lui donnant une option préférentielle sur l'achat du joueur au cas où celui-ci se déciderait pour l'Europe, a affirmé lundi le quotidien catalan Sport.

"Selon ce que nous avons pu savoir, un contrat privé a été signé en novembre 2011 entre la star de Santos et le club catalan, qui représente la première étape de son recrutement", écrit Sport.

Selon le quotidien catalan, 10 millions d'euros auraient déjà été versés sur un total de 45 millions d'euros environ, l'opération pouvant se faire cet été ou l'été 2014.

"Sport" affirme également qu'il existe dans ce contrat une clause de pénalité en cas de rupture du contrat, fixée à 80 millions d'euros, ce qui obligerait donc un club autre que le Barça à verser d'abord cette somme avant de pouvoir s'attacher les services du jeune Brésilien.

Le journal catalan précise enfin que ce pré-contrat, de nature civile, ne porte nullement atteinte au contrat sportif liant Neymar au club de Santos jusqu'à l'été 2014.

Récemment, le président du Barça Sandro Rosell n'avait pas caché l'intérêt du club blaugrana pour l'international brésilien de 21 ans. "Neymar est un joueur qui, dans notre groupe d'entraîneurs et de recruteurs, plaît beaucoup. Il est donc dans la liste de nos possibles recrues futures", avait-il reconnu.

AFP
 
José Mourinho a rendez-vous après Galatasaray  
  On devrait prochainement en savoir davantage sur l’avenir de José Mourinho (50 ans), l’entraîneur du Real Madrid. Selon nos informations, le technicien portugais a rendez-vous avec Florentino Perez, le président des Merengue, après la double confrontation contre Galatasaray (quarts de finale de la Ligue des Champions). Malgré un contrat qui court jusqu’en juin 2016, l’ancien coach du FC Porto n’est pas sûr de prolonger l’aventure. La Maison Blanche ne serait pas forcément contre le fait de poursuivre la collaboration. Même si plusieurs pistes, notamment celle menant au Parisien Carlo Ancelotti (qui fait office de priorité parmi les priorités), ont déjà été activées pour trouver un éventuel successeur au Special One.
Pas de retour à l’Inter Milan

En cas de départ à l’issue de la saison, José Mourinho ne devrait pas retourner à l’Inter Milan. Et ceci malgré certains bruits qui circulent en Italie. En revanche, le Lusitanien pourrait effectuer son retour à Chelsea, qui a d’ailleurs sa préférence. Son agent, Jorge Mendes, est en contact avancé avec les Blues, qui courtisent certains de ses joueurs, dont Radamel Falcao (27 ans, Atletico Madrid). Roman Abramovitch, le patron de l’actuel troisième de Premier League, a quelques doutes. Mais la piste est active.

Chelsea et le PSG à la lutte

Dans les grandes lignes, un accord a été trouvé. Mais il ne faut pas oublier le Paris Saint-Germain, qui a sorti le carnet de chèque. Là aussi, des chiffres ont été avancés avec Jorge Mendes. Comme nous vous l’annoncions précédemment, José Mourinho s’est vu promettre un salaire conséquent mais aussi une petite fortune pour recruter l’été prochain (140-150 M€). Suffisant pour immiscer le doute dans son esprit mais pas forcément pour prendre le dessus sur Chelsea. Le natif de Setubal va devoir trancher.

Sport365
 
90 ans en bleu et jaune !  
  1923 – 2013 (23 mars): quatre-vingt dix Racing Club Haitien - 2009bougies pour le Racing Club Haïtien. Si le club bleu et jaune n’est plus ce qu’il était, il n’en reste pas moins vrai qu’il a marqué le football haïtien des quarante dernières années, avec notamment un titre de Concacaf des clubs champions et un nombre important de titres en coupe Pradel, compétition-phare, et pourvoyeuse en joueurs de talent pour l’équipe nationale. Deux saisons dans l’enfer de la 2e division et plusieurs passages à vide : le Racing plie et ne rompt pas retrouvant ses élans de gagneur pour s’imposer dans le peloton de tête du championnat national de première division.

La génération actuelle des dirigeants veut remettre le club sur une nouvelle voie de succès en prenant toutes les dispositions adéquates. Elle bat le rassemblement des meilleures ressources humaines de la vieille famille du vieux lion et sonne le ralliement des membres du fan-club jaune et bleu.

90 ans : il s’agit de consolider les acquis, corriger les erreurs et ajuster les tirs. Et le Racing veut se montrer à la hauteur de cette tâche.

ashaps.com
 
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